jeudi 30 juillet 2015

Commémoration des 101 ans de la mort de Jaurès

 Vendredi 31 juillet 2015, le Front de Gauche ainsi que des militants associatifs et syndicaux se réuniront afin de commémorer les 101 ans de la mort de Jean Jaurès, les espoirs et les combats des opprimés qui s’exprimèrent à travers sa figure.

Pour la paix, contre le colonialisme, le militarisme et la répression, pour les services publics, la laïcité, l’impôt sur le revenu, les retraites, l’éducation, les droits des femmes et la culture comme moyen de lutte sociale, attaché à la République, au socialisme et au syndicalisme… ses apports à la gauche et plus largement à la société française sont immenses, et si il s’agit de se souvenir, ce n’est pas par nostalgie, mais bien pour se tourner vers l’avenir et les problèmes de notre temps pour lesquels Jaurès apportait un cap duquel le Parti socialiste a aujourd’hui dévié.

Dans une Europe déjà en crise, il dénonçait déjà la concurrence dévastatrice des nations, lui préférant la coopération. Face aux montées nationalistes et xénophobes, il s’opposait à ce qui s’appelait déjà la “préférence nationale”, lui préférant l’internationalisme et la solidarité entre les Peuples. Face au pouvoir démesuré de la finance sur les Etats et la presse, il opposait la démocratie, la liberté et le pluralisme. Des problématiques dont l’actualité brulante nous frappe en ces temps de crise européenne et d’asservissement de la Grèce, de montée des fascismes et du FN, où toute les décisions politiques ne sont tournées que vers un seul objectif qui n’est plus le socialisme, mais le pillage des richesses publiques par la finance à travers le paiement de la dette illégitime et l’austérité.

Nous rassembler dans la diversité de nos engagements et traditions politiques pour nous souvenir que c’est ensemble que nous changerons le monde et nos vies, c’est ce à quoi nous invitons les clermontois et clermontoises à 17h au square de la résistance. Jaurès est mort, pas ses idées, ni nos combats.

mardi 14 juillet 2015

Déclarations des organisations membres du FdG 63 sur les élections régionales

 Oui à l'unité des forces alternatives à gauche

Oui au rassemblement citoyen

Ensemble nous pouvons



Parce qu'ensemble nous voulons faire avancer la cause de l'égalité, de la justice sociale, de la solidarité, de l'écologie et de la démocratie.
Parce que nous avons la volonté commune de soumettre les politiques régionales à des critères de nature sociale, démocratique et environnementale.
Parce qu'ensemble nous voulons changer la donne et rendre l'initiative au peuple.
Parce qu'ensemble nous estimons que l'exercice de la politique ne doit pas rester aux mains de l'oligarchie dominante, et que notre projet est un projet de solidarité territoriale et de coopération co-construit avec les citoyens.

Une alternative est possible au plan négocié entre Alexis Tsipras et les créanciers à Bruxelles

Le 5 juillet 2015, à l’issue du référendum initié par le gouvernement d’Alexis Tsipras et le parlement hellène, le peuple grec a rejeté massivement la poursuite de l’austérité que voulaient lui imposer les institutions qui auparavant agissaient sous le nom de Troïka. C’est une splendide victoire de la démocratie.


Pourtant, s’il est mis en pratique, l’accord intervenu le lundi 13 juillet au matin, signifiera la poursuite de l’austérité dans le cadre d’un nouvel accord pluriannuel. Ce qui est en totale contradiction avec le résultat du référendum.

dimanche 5 juillet 2015

Victoire du NON en Grèce ! Oui à la démocratie, non à l'austérité !

Le peuple grec en votant massivement "Non" a choisi ce soir  l'Europe de la solidarité et de la démocratie, contre celle de l'austérité et de l'autoritarisme de la Troïka. Avec ce vote, les grecs disent oui à la démocratie et non à l'austérité. Par leur courage ils font vivre l'espoir pour les peuples qui veulent une alternative. La Grèce a été le premier laboratoire des politiques d'austérité, face au chantage de la finance internationale, elle clame haut et fort, "Ya basta !". 

Les grecs, victimes d'une politique d'austérité inhumaine, ont brillamment relevé la tête et dit NON aux exigences irréalistes de la finance mondiale. Ils ont dit NON à la misère, à la destruction du système hospitalier, à l'annulation du droit du travail, ils ont dit NON à l'esclavage. Les grecs ont dit OUI à une autre Europe, ils nous disent : "vous les autres peuples d'Europe relevez la tête, refusez les politiques d'austérité qu'elles soient menées par la droite ou les sociaux-démocrates, rejoignez-nous dans le combat contre cet ennemi sans visage qu'est la finance internationale, retrouver votre dignité de peuples libres et combatifs, n'acceptez plus les diktats au nom de l'argent." 

Nous sommes remplis d'admiration devant la détermination des grecs à faire entendre leurs voix, Nous les remercions pour leur belle victoire qui aide tous les peuples d'Europe dans leur marche vers la justice sociale et leur lutte pour une véritable démocratie européenne.

 

mercredi 1 juillet 2015

Contre le diktat de la Troïka, solidarité avec le peuple grec !

Avec le peuple grec contre le coup d’État financier !


Imposées par l’Union européenne et la finance, les politiques d'austérité ont plongé le peuple grec dans la
misère. Les banques privées européennes se sont enrichies par le mécanisme du remboursement sans fin de la dette et de ses intérêts.  

Gouvernements allemand et français en tête, l'Union européenne est prête à tout pour empêcher le gouvernement Syriza de mettre en œuvre son programme qui vise à répondre à l’urgence sociale et à relancer l’activité économique. Ils veulent faire plier les Grecs et montrer qu’il n'y a pas d'alternative à l'austérité.

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